16/12/2021
Par l'opération du Saint Esprit
LA QUEQUETTERIE
Ne félicitons pas le professeur d’une école catholique d’avoir lancé une pétition opposée à l’ouverture commerciale d’une pâtisserie d’Angers proposant à sa clientèle des friandises et gâteaux à caractère sexuel (si peu). Nos ancêtres païens, ceux d’Europe comme ceux de l’Égypte antique, en raffolaient. Souvenez-vous de la déesses Isis redonnant vie au postiche phallus de son frère Osiris, par le moyen d’un geste sacré : la fellation. Un des derniers aspects de ce geste divin est suggéré sur le plafond de la Chapelle Sixtine : le sexe d’Adam situé au niveau du visage de Eve. Michel Ange s’y connaissait.
Plus modestement Bar Zing pense que la bande dessinée célèbre sous le titre de PIM PAM POUM devrait être interdite de lecture à nos enfants par tous les parents soucieux de ne pas développer chez leurs progénitures quelque imaginaire indécent : La gamine Léna jamais repue de sucer des sucettes. Qu’attend-on pour interdire la fabrication et la vente des sucettes ?
Apprentissage SM à l'enfance ??
L’actuel Pape François, Pape de la décadence, ne trouve rien de mieux que d’inciter ses dernières ouailles à accueillir l’Islam dans les paroisses. Autrement dit si les papes du Moyen Age avait eu cette mentalité toute l’Europe serait islamisée depuis le VIIIe siècle.
INTERDISONS LES SUCETTES !
Bar Zing
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09/08/2021
Tarzanide n° 509
« L’occasion fait le larron » qu’il dit le proverbe. J’allais pour me reposer une fois encore lorsqu’un petit format de poche BD oublié de ma mémoire entra comme par effraction dans mes yeux. BAMBINO il s’appelle, daté de l’année 1957.
Le numéro UN (Le Diable, seul sait d’où m’est venu cet exemplaire). Et comme 1957 est aussi l’année pendant laquelle la jeune chanteuse DALIDA méritait ses premiers succès, je me dis que ce fut peut-être sa chanson BAMBINO qui incita à créer un titre bédé du même nom afin de récolter quelques échos pécuniaires de cette mode musicale. En effet dans les fêtes foraines du moment, dont celle du quartier montluçonnais des Fours à Chaux, le stand des voitures tamponneuses retentissait de la voix amplifiée de cette chanteuse : Bambino ! Bambino !
Je ne connais pas la collection BAMBINO dont je viens d’apprendre qu’elle contient 62 numéros de parution. Le spécimen que je possède tout à fait par hasard a été imprimé dans un des ateliers Del Duca, l’ogre fameux de la littérature populaire du lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. Je note dans ce numéro 1 de Bambino la présence d’un HANDJAR que je connus dès 1952 dans l’hebdomadaire L’INTRÉPIDE. Cependant dans cet ancien illustré, le corsaire HANDJAR est surnommé « Le Justicier » et non pas dépendant d’un « pavillon noir ». HANDJAR est accompagné d’un athlète noir qui ne fait aucun cadeau aux adversaires de son ami blanc.
A l’instant de mettre sous presse (comme on disait dans les ateliers d’autrefois) j’apprends qu’un individu d’origine africaine vient de se dénoncer comme assassin d’un prêtre chrétien. L’individu fort connu des services de police, serait le même immigré qui commença d’incendier la cathédrale de Nantes, sans doute pour apporter sa force de travail chez nous. Les z’humanitaires venus de la veine de Badinter racontent que ce type n’est qu’un pauvre type « malade mental » auquel il faut bien pardonner. Dites moi : vous trouvez pas bizarre que les prétendus dérangés du ciboulot attaquent uniquement les religieux chrétiens mais pas les religieux musulmans ? Et comment se fait-il qu’un innocent « malade mental » entre toujours chez son voisin avec un couteau plutôt qu’avec un bouquet de fleurs, Docteur ?
Bar Zing
16:09 Publié dans Actualité, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Musique, People, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : bd bambino, dalida bambino, del duca, bd l’intrépide, bandes dessinées de collection, bandes dessinées anciennes, tarzanides du grenier, bar zing
27/05/2021
Macron hors de France n'a pas dit :
« La Seine Saint Denis sans la mer
c'est la merde »
Bientôt
AJBD remplacera BAR ZING
17:33 Publié dans Actualité, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bar zing, ryal, tarzanides du grenier, ajbd
26/05/2021
26 mai 2021
BAR ZING
travaille à la création d'un nouveau blog
consacré aux nostalgiques
des bandes dessinées de collection.
Probablement sous le nom
AJBD
Alors à demain si vous le voulez bien
comme disait l'autre longtemps avant nous.
17:49 Publié dans Actualité, Arts, BD, BD anciennes, Blog, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bar zing, doc jivaro, ryal, tarzanides du grenier
20/03/2021
Tarzanides n° 489
NUIT R’AMERICAINE
Réalisé sinon réussi par Truffaut (François) ce film français bourré de simulacres, de mensonges entre personnages tire son titre d’un procédé cinématographique visant à tromper le spectateur : lui faire croire qu’il assiste à une scène nocturne alors qu’elle se déroule en pleine journée. Pour obtenir cette illusion optique trompeuse, les techniciens d’Hollywood utilisaient différents filtres placés devant l’œil de la caméra pour uniformiser en les assombrissant les décors et les acteurs. Nous avons tous connu cette supercherie, notamment dans les westerns : Kirk Douglas, Alan Ladd, Mitchum, etc, etc, … Tous sous un soleil lunaire.
Cependant, le pays de Clémenceau et Landru utilisa dans des histoires en images colorées un procédé simple suggérant une ambiance nocturne, longtemps avant les simulations r’américaines. Vérifions ça dans un épisode des PIEDS-NICKELES daté du 23 avril 1914 (eh ouais : 1914).
Le bleu transparent domine et l’on sait que le bleu dans l’inconscient collectif de notre pays a comme une signification de peur (bleue) et d’aveuglement (n’y voir que du bleu). Une telle constante trouve peut-être son origine dans les antiques affrontements entre guerriers gaulois et légionnaires latins : les hommes et les femmes de la Gaule souvent entièrement nus pour batailler, se teignaient parfois de bleu le corps.
Dans les BD de notre jeunesse il se pratiquait aussi, pour suggérer la nuit la division oblique d’une image en deux parties : jaune, bleue. Par exemple, Buffalo Bill dessiné par René Giffey, du 13 janvier 1951 et dans Le Grand Magazine TARZAN.
Doc Jivaro peut bien évoquer ces publications anciennes mais la question aujourd’hui est la suivante chez les producteurs de BD américaines de Marvel : quel acteur va-t-on choisir pour incarner le super héros CAPTAIN AMERICA ? Ce personnage virtuel fut créé dès le début de l’entrée en guerre des Etats-Unis, affrontant simultanément et le IIIe Reich et l’Empire Japonais. Pourvu de lui conserver son bouclier rond invulnérable, les petits blancs décadents d’à présent sont capables de le présenter sous l’aspect d’un Mohammed Ali enroulé dans un tapis à prières, nouveau rouleau compresseur pour écraser tous les infidèles.
Eh bien ! Ça suffira. N’aggravons pas trop notre cas clinique.
Doc Jivaro
16:40 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Cinéma, Fanzine, Film, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rené giffey, l’apatant, tarzan, captain américa, les pieds nickelés, robert mitchum, kirk douglas, alan ladd, bandes dessinées de collection, tarzanide, bar zing, doc jivaro
26/12/2020
Tarzanide n° 470
PÉPÉ NOËL
C'est un fait récemment historique, oui : historique, que le personnage si peu chrétien d'un « Père Noël » remplace, dans les pays de l'Europe de l'Ouest, pour le 25 décembre, la traditionnelle naissance nocturne d'un Jésus-Christ. La France (ce qu'il en reste c'est à dire presque rien) cesse d'être la fille aînée de l’Église pour se complaire politiquement à ne subsister que comme déversoir d'un trop plein de populations étrangères : de solides gaillards en âge de porter les armes …
… Les armes de l'Islam revanchard.
Du côté de la BD « à la française » des années 1950 LE PÈRE NOËL était un personnage rondouillard doté d'une barbe noirâtre et non pas blanche, inventé pour l'hebdomadaire COQ HARDI par deux complices de longue date : Claude Marin et Marijac.
En fait ce Père Noël est un clochard et sa seule familiarité avec le mythique porteur de cadeaux pour les petits enfants, est la couleur de ses vêtements usagés : le rouge. Lorsque ce faux Père Noël fut publié les clochards n'étaient pas encore promus S.D.F. C'est principalement pendant l'année 1953 que cette créature BD fut publiée sans que l'on puisse dire qu'elle représente une des mieux réussies par l’excellent Marijac. Il est possible qu'elle lui ait été inspirée indirectement par un précédent personnage d'origine américaine et que Marijac connut pendant les lectures de sa jeunesse : le Père Lacloche imaginé par Russel et dont la première parution en France se fit dans le tout premier hebdomadaire MICKEY, celui daté du 21 octobre 1934.
Lorsque je me rendais en vacances d'été en Creuse, dans Chenérailles, ce qui m'amusait c'est que mon oncle, forgeron non dénué de sens artistique, répondait au surnom Mickey donné par ses copains de café-bistro du même âge que le sien. Parfois même ceux-là se suffisaient de l'appeler « Mick ». C'est son neveu qui m'expliqua : « Quand il était enfant il lisait les aventures de Mickey. Il les lisait tellement qu'on riait de lui en le surnommant du nom du personnage de Disney.
Dois-je dire que cet oncle me reprochait parfois de rester la tête immobile, le nez plongé entre deux grandes pages de bandes dessinées ?
Doc Jivaro
16:16 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Journaux, Moeurs, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coq hardi, claude marin, père noël, marijac, russel, mickey, père lacloche, fête du 25 décembre, bandes dessinées de collection, tarzanide du grenier, bar zing, doc jivaro